Le mystérieux label Type (Johann Johannsson, Sickoakes...) nous propose d'écouter le nouvel opus du duo norvégien actif depuis 2003 nommé Deaf Center. Composé de Erik Skodvin et d'Otto Totland le binôme opère une musique Ambient / Classique contemporaine envoûtante, cinématographique, flirtant parfois même avec un Post-rock repoussé dans ses retranchements les plus fous. Owl Splinters est le successeur de 2 premiers excellents albums que je vous conseille amplement si vous ne les connaissez pas : Neon City (2004) et Pale Ravine (2005) qui emmèneront dans des endroits inconnus ceux qui seraient restés dans la veine purement Post-rock. Découvrez l'album en intégralité à la suite de l'article, et surtout, n'oubliez pas de donner votre avis !
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Dylan Carlson fait partie de ces musiciens dont le talent n'a d'égal que leur invraisemblance. Armurier d'un triste jour pour Kurt Cobain, drug-addict ayant élevé la musique à un niveau métaphysique rare, Carlson est un homme aux goûts défrayant la chronique (cf l'influence du groupe Tuareg nommé Tinariwen dans les influences de Angels Of Darkness, Demons Of Light I ou la forte impact de son amour pour la musique Country ou Jazz dans ses dernières compositions). Voici donc une anthologie des albums l'ayant fortement impacté tout au long de sa vie publiée aujourd'hui sur le site Pitchfork.com et traduit instantanément par nos soins.
Dans la vie il y a une première fois à toute chose. Bien évidemment, certains événements restent beaucoup plus marquants que d'autres. C'est exactement ce qui s'est passé lundi dernier au Il Motore, puisque c'était le premier passage de Rosetta à Montréal et aussi ma première fois avec Kylesa en guise de tête d'affiche. J'avais eu la chance de capter la sublime tournée avec Intronaut et Mastodon il y a deux ans, dans le cadre de la promotion de Static Tensions, mais j'étais plutôt curieux de les voir en petite salle...
Ça fait un moment que je voulais parler de Master Musicians of Bukkake ici. D'abord parce que le projet mélange un tas de musiciens dont on adore les projets (je pense principalement à Earth et Secret Chiefs 3 me concernant).
À peine deux jours après la grosse claque que le concert de Barn Burner m'avait infligée, j'étais déjà dédié à une autre mission tout aussi pertinente. Décidément, la scène locale explosait en ce début d'année 2011 puisque trois autres groupes locaux venaient casser la baraque ce samedi 15 janvier à la Sala Rossa. La bonne nouvelle c'est que je ne connaissais pratiquement aucune de ses formations et sachez que c'est le genre de défi qui me rend absolument heureux.
Neurosis continue son flot de réédition et cette fois-ci ce sera le sombre que dis-je le sinistre Souls at Zero qui ressortira le 15 Février prochain (le lendemain de la fête de l'amour hahahahaha!.....) pour fêter les 25 ans du groupe. Au programme un artwork rafraichi et une setlist comprenant 2 démos inédites (Souls et Zero) ainsi qu'un morceau live intitulé Cleanse III. L'occasion rêver de placer ce ténébreux trophée dans votre petite collection...
Le vidéaste de Neurosis ayant envie d'exprimer ses petits sentiments en musique, il appelle ses camarades d'Isis ou Halifax Pier, et voila un nouveau combo formé qui s'intitule Red Sparowes.
Duo guitare/basse assez discret sur Hydrahead, les deux gaillards n'aiment pas trop tourner d'après ce que j'ai compris.
De toutes les découvertes canadiennes de 2010 Alaskan, jeune groupe d'Ottawa, vient sans soucis se placer sur le podium des groupes les plus impressionnants de l'année. Dans l'optique d'une tournée européenne en 2011 pour eux, quoi de plus naturel que de demander la retrospective musicale 2010 de Scotty, le très amical batteur d'Alaskan ? Sortez vos calepins ! Photos : benfscheme
Ah le temps des fêtes avec ses décorations pleines de scintillements, sa joie des réunions familiales, des enfants qui courent, rient à gorges déployées en jouant avec leur jouets colorés. Tout ce que Kingdom ne représente pas. Un grand merci à4x4music.eu pour la captation !
Je vais faire plaisir à mon pote Manu en le disant haut et fort, mais c'est vrai que ce LP bute sur place. Kylesa prouve avec ce disque qu'on peut compter sur eux dans une scène rock américaine dont la suprématie n'est pas encore à remettre en cause.
Pelican est un putain de bon groupe, inspiré, créatif, lumineux et évasif. Que le combo se la fende mélodique tendance Post-Rock, ou plus massif tendance Post-Hardcore, je trouve toujours les passages excellents.