On vous en a parlé il y a peu, Revok a sorti un nouvel album intitulé Bunt Of Grau (2015, Music Fear Satan). Ne reculant devant aucune aventure, le Pelican toujours intrépide a plongé jusque dans le ventre de la baleine (ndlr : nom de leur local de répét') pour tenter de faire cracher quelques explications aux ombrageux Parisiens. Une interview en vidéo par Andrey, Patrick et Matiu.
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Matiu
Rencontre des anciens et des modernes, l'affiche Deerhoof et Pneu pour une même soirée, c'était un événement à ne pas manquer pour les amateurs de rock destructuré.
Un saut dans une machine à remonter le temps. Voilà peu ou prou ce que nous ont offert la fine équipe de Konfuzi en programmant le même soir Deerhoof et Pneu, autrement dit, à presque 20 ans et un océan Atlantique d'écart, 2 des groupes les plus excitants dans le style rock déconstruit / destructuré.
Le public ne s'y est d'ailleurs pas trompé, et le concert était sold out plusieurs semaines avant la date.
Avec seulement 3 albums publiés depuis 2007, Revok n'est pas ce que l'on pourrait appeler un groupe particulièrement productif. Mais tout vient à point comme disait ma grand-mère, et les Parisiens savent se faire pardonner ces longues absences par la qualité de leurs disques.
11 décembre, Trabendo à Paris : le charme du post-rock japonnais opère... différemment. Que l'on travaille pour Pop Is On Fire ou Pelecanus.
Avec son groupe Portobello Bones, Lionel Fahy a été, durant une dizaine d’années, l’un des fers de lance de la scène indé française. Rencontre avec un artiste protéiforme incarnant l’esprit DIY et alternatif, de la musique au tatouage.