Vous êtes ici

Entrevues

Par Estelle
le 12/06/2016 - 12:17
Cult of Luna & Julie Christmas : entrevue Julie Christmas et Johannes Persson 03/11/16 @ Les Docks, Lausanne

"Mariner was never supposed to be played live"

Dès la sortie de Mariner, le message avait été très clair : l’expérience réunissant Cult of Luna et Julie Christmas ne dépasserait jamais le stade de l’album. A force de le répéter à tort et à travers, Johannes Persson avait fini par nous convaincre qu’il n’y aurait pas de tournée commune. Sauf qu'en Juin dernier une petite phrase change tout. Cinq dates sont annoncées dans la foulée, pas une de plus. Accompagnés de nos confrères Metal Sickness, nous avons eu la chance de rencontrer Julie Christmas et Johannes Persson à Lausanne. L’occasion de revenir sur ce projet un peu fou, des origines au grand final scénique dont nous serons témoins quelques heures plus tard.

Par Simonne
le 08/14/2016 - 21:22
NY in 64 : « ce qui rend notre musique distinctive est tout simplement la somme de nos cerveaux [...]»

NY in 64 émerge des cendres de nombreux groupes de 90s hardcore. Le quatuor du New Jersey mélange ses nombreuses influences pour créer une forme complexe de hardcore progressif instrumental. Nous les avons interviewés à l'aube de leur première prestation canadienne dans le cadre du festival Oeil du Tigre.

Par Andrey
le 07/10/2016 - 23:36

Nous connaissons tous Amenra pour leur extrême noirceur et violence, tant sur album qu'en live. Murs de guitares massifs, éclairage quasi-absent, et surtout un chanteur complétement possédé, tournant le dos au public, le câble de son micro enroulé autour du corps. Mais les vrais fans savent depuis longtemps qu’Amenra, c’est aussi des ballades acoustiques déprimantes, d’une beauté à faire couler une larme au métalleux le plus bourru du Wacken. C’est donc à l’occasion de la sortie de Alive, un album live composé uniquement de morceaux acoustiques, que nous avons pu poser quelques questions à Colin H. van Eeckhout, le charismatique frontman du groupe.

Par Mathieu
le 07/03/2016 - 23:32
Plebeian Grandstand : "se réapproprier les outils du black-metal pour en faire une musique adulte"

Depuis son premier album, How hate is hard to define, Plebeian Grandstand a montré sa capacité à définir de mieux en mieux la haine qu’ils ressentent tout en brouillant les pistes vis-à-vis de leur identité. Plus black metal que les peinturlurés norvégiens, plus hardcore que ton oncle avec son bandana Madball, les Toulousains tracent une route qui leur est propre, sans regarder la concurrence, sans vouloir faire plus que les autres mais toujours mieux que leurs propres disques. Ivo et Olivier, respectivement batteur et bassiste du groupe depuis le deuxième album, ont accepté de répondre à quelques questions sur leur musique, ce que représente le black metal pour eux et comment continuer à assurer en tournée quand on met des blasts partout.

Par Boris
le 04/28/2016 - 00:26
Cult of Luna : entrevue Thomas Hedlund 14/04/16 @ Roadburn Festival 2016, Tilburg

Entre le groupe estampillé « post-metal » le plus célèbre d’Umeå et moi, ç’a été une longue et fructueuse romance… Du genre projets de fiançailles à foison dans une paisible ferme suédoise au son du séculaire clocher tors, plutôt qu'un match Tinder d’un soir pour une amourette sans lendemain. A vrai dire, depuis notre rencontre au détour d’une page chronique d’un webzine orgiaque il y a plus de onze ans maintenant (ça nous rajeunit pas tout ça ma bonne dame…), au son de la profonde complainte « Leave Me Here », la présence ténue mais salvatrice de nos Krisprolls favoris n’a cessé de hanter mes rêveries de concassage sonore les plus débridés autant que mes plus célestes spleen embrumés.

Par Boris
le 04/28/2016 - 00:26
Cult of Luna : entrevue Thomas Hedlund 14/04/16 @ Roadburn Festival 2016, Tilburg

Entre le groupe estampillé « post-metal » le plus célèbre d’Umeå et moi, ç’a été une longue et fructueuse romance… Du genre projets de fiançailles à foison dans une paisible ferme suédoise au son du séculaire clocher tors, plutôt qu'un match Tinder d’un soir pour une amourette sans lendemain. A vrai dire, depuis notre rencontre au détour d’une page chronique d’un webzine orgiaque il y a plus de onze ans maintenant (ça nous rajeunit pas tout ça ma bonne dame…), au son de la profonde complainte « Leave Me Here », la présence ténue mais salvatrice de nos Krisprolls favoris n’a cessé de hanter mes rêveries de concassage sonore les plus débridés autant que mes plus célestes spleen embrumés.

Pages

S'abonner à Entrevues