Si le point culminant de cet agenda parisien demeure l’anniversaire de nos fidèles partenaires que sont les Stoned Gatherings et Dead Pig Entertainment le 22 mars, la venue de Weedeater le 10 mars fait ardemment grimper mon impatience. A noter également, la présence de Monsieur Lanegan à l'Alhambra en début de mois. Mars promet de beaux shows...
Vous êtes ici
Colour Haze
Avec To The Highest Gods We Know, les maîtres du Stoner Rock proposent d'explorer un peu plus les possibilités de la pédale fuzz. Adepte des ambiances psychédéliques et rétros, Colour Haze s'attarde cette fois-ci dans de plus profondes contrées, à la lisière du jazz fusion et de la musique traditionnelle indienne. Si beaucoup de motifs se rattachent à l'époque des sixties et à ses atmosphères enfumées de substances délirantes, cet opus dégage aussi un côté spirituel, une envie de chercher toujours plus loin, une sorte de quête d'absolu. Colour Haze prend ainsi la route de l'Orient pour un énième voyage cosmique. C'est un véritable plaisir que de l'accompagner.
C’est le dernier jour et ça se sent sur les visages, il faut dire que chaque soirée s’est prolongée avec des after assez épiques. Encore un petit raté pour ma part avec les Grecques de 1000 Mods mais j’aurai le plaisir de les voir quelques jours plus tard, donc pas de regrets.
A peine plus d'un an après leur dernier passage dans le coin, les Allemands de Colour Haze sont de retour à Paris, en ramenant pour l'occasion leurs compatriotes de My Sleeping Karma. Deux sets tout en solos psychédéliques et riffs groovy, dans un Divan du Monde bondé et soudé, malgré les quelques perturbations dans la fosse. Voici quelques images de cette soirée.
Le rock ? Mort ? Laissons-ça aux t-shirts cheap et autres supports à messages superficiels et remercions Jörg Steinhauer pour ses captations de grandes qualités avec des vidéos de groupes comme Elder, Kadavar, Colour Haze, Glowsun, Monkey3 et bien d'autres sur sa chaîne Youtube. On monte le son, on clique, et on plane.
Le Duna Jam n'est pas un festival. Le Duna Jam s'apparente plutôt à un pique-nique amplifié où on ne mangerait que des gâteaux magiques, ou à une petite fête sur la plage entre amis que vous ne connaitriez pas tous, mais peu importe, car ils aiment le stoner et le psyche rock et c'est ça qui compte au fond. Vous l'aurez compris le Duna Jam est un événement à part.
Depuis que j'ai découvert Colour Haze au Hellfest, je n'ai cessé de me demander comment j'avais fait pour ne jamais avoir entendu parler de ce groupe avant. Alors quand j'ai vu qu'ils passaient à Paris, et dans un show "XXL" de trois heures, j'ai tout de suite su qu'il FALLAIT que j'y sois. Surtout que ça se passait au Nouveau Casino, sûrement l'une des meilleures salles de Paris. Que demander de plus ?
Hellfest. Trois jours, six scènes, bien plus de cent groupes, et quelques dizaines de milliers de spectateurs; voici quelques chiffres relatifs à ce festival, l'un des plus grands d'Europe. Il était évident qu'on allait y être. Cependant, le contenu du festival étant on ne peut plus hétérogène (avec toutefois une affinité prononcée avec les genres en -metal et en -core), une scène en particulier attira notre attention au point d'y passer le plus clair de notre temps, j'ai nommé The Valley.