Profitons des us et coutumes de fin d'année pour vous dire un gros merci, car vous êtes toujours plus nombreux encore à nous suivre en 2014. Vos partages, vos commentaires et les discussions qui en découlent sont un véritable moteur et une richesse commune pour la gestion du site au quotidien. En guise de remerciements, nous vous proposons nos tops 2014 afin que vous puissiez repasser à travers quelques bonnes dizaines (voire plus) de sorties qui vous seraient passées sous le nez cette année. Et comme nous ne cessons de le répéter chaque année : il y en a eu du bon, et dans tous les styles. Vous retrouverez donc à la suite les tops des différents membres de l'équipe qui vous emmèneront forcément vers des territoires connus et inconnus, passant par le stoner, le doom, l'ambient, l'électro, le rap, le néo-classique, l'indus, la soul/funk et j'en passe. Si quelque chose vous semble manquer, si vous n'êtes pas d'accord, n'hésitez pas à partager vos réactions dans les commentaires, sur Twitter ou sur Facebook. Bonne écoute, et bonne année !
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The Socks
12 Septembre, les concerts reprennent petit à petit. C'est assez confiante de passer une bonne soirée que je me rends au show, étant assez fan du hard rock psyché des Lyonnais de The Socks qui nous donnent à chaque fois une bonne claque. Mais c'est avec curiosité que j'attends de découvrir Scott H. Biram et son blues aux influences multiples. Je pense que je suis passée à coté de sa musique trop longtemps vu le monde présent au Marché Gare…
The Socks affiche depuis 2009 une ferme détermination à envahir l'espace stoner. Avec un son space rock crasseux et une voix grunge, les petits Frenchies surfent à la fois sur le hard rock seventies revival, sur le heavy metal britannique et sur la poussière du desert californien. The Socks, ou comment s'inspirer sans jamais plagier. Impossible de définir exactement leur style car ils viennent de l'inventer.
Vous pouvez demander à n’importe quel Parisien féru de concerts : l’avantage principal d’habiter la capitale – ou du moins sa proche banlieue –, c’est la pléthore de concerts auxquels il est possible d’assister. Le secret d’un pays aussi tourné vers son propre nombril se cache dans le fait de loger dans ce nombril. Le Parisien peut tout voir : petits groupes qui font leurs dents, légendes cultes, stoner suédois, folk islandaise, electro corse, black metal québécois, zouk de Barbès, new-wave disco pour hipster… Oui, j’en passe - et des bien pires.