Certaines nuits sont plus arrosées que d'autres, et croyez-moi que l'annuelle Nuit Blanche montréalaise a su faire couler l'alcool à flots pour l'édition 2011. L'endroit le plus malsain pour célébrer cette débauche mémorable semblait être le Café Chaos, qui nous présentait deux groupes puant l'alcool à plein nez. Dopethrone et Downtrodden unissaient leurs forces pour nous saigner les tympans bien comme il se doit.
Vous êtes ici
Montréal
Dans la vie il y a une première fois à toute chose. Bien évidemment, certains événements restent beaucoup plus marquants que d'autres. C'est exactement ce qui s'est passé lundi dernier au Il Motore, puisque c'était le premier passage de Rosetta à Montréal et aussi ma première fois avec Kylesa en guise de tête d'affiche. J'avais eu la chance de capter la sublime tournée avec Intronaut et Mastodon il y a deux ans, dans le cadre de la promotion de Static Tensions, mais j'étais plutôt curieux de les voir en petite salle...
À peine deux jours après la grosse claque que le concert de Barn Burner m'avait infligée, j'étais déjà dédié à une autre mission tout aussi pertinente. Décidément, la scène locale explosait en ce début d'année 2011 puisque trois autres groupes locaux venaient casser la baraque ce samedi 15 janvier à la Sala Rossa. La bonne nouvelle c'est que je ne connaissais pratiquement aucune de ses formations et sachez que c'est le genre de défi qui me rend absolument heureux.
Encore une fois, l'équipe de Pelecanus.net était appelée à couvrir la scène locale montréalaise. C'est avec un grand plaisir et une bonne dose de curiosité que nous nous sommes rendus à L'Absynthe pour couvrir le concert des démons du sludge montréalais, je parle évidemment de The Great Sabatini. Comme si ce n'était pas suffisant, quatre autres formations se joignaient à eux pour un délire des plus violents.
« Une invitation, ça ne se refuse pas! » C'est ce que me disait ma maman quand j'étais petit. Elle doit être fière de moi aujourd'hui parce que je continue à l'écouter même à plusieurs centaines de kilomètres de ma bonne vieille maison. Je m'explique, nous avons reçu une invitation de la part du groupe montréalais VANDAMN! pour couvrir leur folie musicale au Bar L'Escogriffe samedi dernier. J'ai donc pris mes responsabilités, me suis brossé les dents et ai pris la poudre d'escampette pour ce joli bar que j'affectionne tant.
Quoi de mieux qu'un samedi soir montréalais pour se changer les idées? La réponse est simple, un samedi musical avec une thématique Post-rock! En effet, c'est en fin de semaine dernière que trois groupes québécois foulèrent la scène du Il Motore sur Jean-Talon. Ce n'était pas nécessairement trois formations qui proposaient du post à l'état pur, mais ce n'était pas une raison pour ne pas s'y intéresser. Le concept de la soirée était bien simple : c'était le lancement du tout premier album de La Querelle (anciennement Issue Sixteen) intitulé ''Welcome To My Battleship''. Pour l’occasion le groupe avait décidé d'inviter deux excellentes formations de Montréal, soit Esker Mica et Kimika, un groupe qui nous est plus familier puisqu'il se retrouve dans une de mes critiques précédentes. J'avais donc très hâte de voir ce que le groupe nous réservait pour cette deuxième rencontre.
Voici l'un des concerts que j'attendais le plus de l'année. Mon amour pour Boris s'étire sur plusieurs années, mais étonnement ma connaissance de Russian Circles est toute récente. J'anticipais beaucoup de bien pour cet événement, et par le fait même que nous explorions une nouvelle salle très étonnante de la ville de Montréal. Le très sombre Cabaret du Mile-End était l'hôte de ce carnage auditif. Vous avez sans doute entendu parler des effets secondaires d'un concert de Boris : c'est un mal d'oreille infernal qui vous attend si vous oubliez vos meilleurs amis, les bouchons! La charge de décibels est inégalée et dans une petite salle c'est d'autant plus difficile de s'en remettre.
Pour la deuxième fois en moins d'un mois, on a eu droit à une soirée bien spéciale sur la scène post-hardcore québécoise. Vous avez sans doute lu ma première critique concernant le sujet il y a de cela quelques semaines? Si non, faites-le sans plus tarder et revenez ensuite sur celle-ci pour voir ce second chapitre de mon expérience avec l'excellent groupe montréalais Milanku.
C’est récemment que j’ai eu la chance de faire la découverte du groupe québécois Milanku, découverte que je dois à des amis plus débrouillards que moi au niveau de la recherche de groupes locaux. La bonne nouvelle c’est que quelques semaines à peine après avoir fait cette découverte, j’ai pu voir le potentiel scénique de ce post-hardcore québécois. Étant un de mes genres favoris, j’avais de grandes attentes envers ce moment tant attendu...
23 Juin 2010 - 13H32 - À mon bureau - Le sol tremble, mon café tente de mettre fin à ses jours du haut de mon bureau. Phénomène rare au Québec, une secousse de magnitude 5.5 vient de frapper la ville. Qui aurait pu soupçonner que la réplique aurait lieu le soir même dans un Club Soda (soldout) accueillant 800 personnes venues vivre un phénomène aussi rare qu'un tremblement de terre québécois : la fin précoce d'un groupe devenu culte.