In Nomine Satanas... Quand l'occasion se présente d'avoir Ghost en entrevue, cela ne se refuse pas. Une des Ghouls nous explique ce qui se cache vraiment derrière les costumes et la mise en scène. Rencontre maléfique entre un des plus beaux représentants du Très-Bas en activité sur scène et une des plus sales raclures de la presse musicale depuis 1996.
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C'est à peine croyable mais 13 dollars est le prix de ce double DVD proposant le troisième volet documentaire au sujet du dernier Maryland Deathfest et qui sera disponible dès le 28 mai prochain. A l'intérieur : 4 heures de lives de groupes qui sont passés lors de la dernière édition du festival (comme Electric Wizard, Saint Vitus, Church of Misery, Yob, The Devil's Blood, Rwake, Winter, Godflesh, Unsane, Cough) mais aussi des entrevues, et puis, si vous le commandez avant le 1er juin la possibilité de télécharger 3 heures de live audio enregistré lors du festival. Sympa non ? A noter qu'il est toujours possible de se procurer les DVDs II et I par ici.
Quiconque ayant déjà eu la chance de mettre un pied au Roadburn Festival, qui prend place en avril dans la ville de Tilburg (Pays-Bas), sait, sans trop en faire, que ce festival est unique en son genre. Au fait qu'il mette en place une programmation artistique variée et rarement inintéressante, il rajoute une passion vibrante perceptible à chaque minute et chaque endroit de celui-ci. Au fait qu'il offre des conditions plus que parfaites, il respecte son audience autant que son objectif principal : partager la musique et rien d'autre avec amour et force. Un endroit dont vous sortez plus passionné et inspiré encore que lorsque vous y entré. Vous en avez ma parole. Merci Walter.
Arik - Moonhawk - Roper est né en 1973 à New-York et a grandi à Richmond en Virginie, puis est revenu vivre dans la Grosse Pomme pour ses études à la "School of Visual Arts" de 1991 à 1995, période pendant laquelle il développera son univers auquel nous pourrions coller des adjectifs comme fantastique, horrible, surréaliste et/ou psychédélique. Il oeuvrera dans la création de pochettes, d'artworks, d'affiches de concerts pour de nombreux groupes mais aussi dans de petits boulots d'illustration pour l'industrie de la pub (avec des références comme Warner, Nike ou MTV) ou encore à la création d'un livre hommage aux champignons hallucinogènes intitulé "Mushroom Magick: A Visionary Field Guide". Arik se cache derrière les visuels de groupes comme Sleep (pour la réédition de Dopesmoker de 2012), Earth (le légendaire The Bees Made Honey in the Lion's Skull) ou High on Fire (dont il semble être l'illustrateur favori) et bien d'autres encore. Retour "disco-graphique" sur les albums ayant fait l'objet d'un travail d'illustration signéArik Roper dans la suite.
J'espère que beaucoup de personnes connaissent Totimoshi, et si ce n'est pas le cas, qu'elles prendront le temps de se poser et de rentrer dans cette interview de Tony Aguilar. J'ai connu Tony sur les tournées des Melvins, et il est de ces rencontres que l'on n'oublie pas. L'idée de parler de son expérience personnelle et de l'aventure Totimoshi me semblait importante et j'ai profité de mes dernières vacances chez eux pour prendre un peu de mon temps libre ou plutôt un peu de temps un après-midi sur un tournage où je leur filais un coup de main à la caméra. J'avais besoin de partager la musique de Totimoshi, le discours, la sincérité, tout ce qui me rassure et me donne espoir quand à l'authenticité de notre culture. Partager une fois de plus la vie de ces personnes qui, comme d'autres parmi nous ont fait des choix et ne peuvent vivre autrement que pour essayer de transmettre leur héritage, en espérant que quelqu'un les écoute ou non mais "dansent juste au gré du vent pendant le court instant où nous sommes sur terre".
Swans. Les fans en sont finis, les autres n’y comprennent rien. S’il y a un groupe qui exprime avec autant d’aplomb le misérabilisme urbain, ce groupe ayant vu son origine il y a plus de 30 ans en est le porte-parole. Une rectitude sonore architecturale, pesée, calculée, une hargne ostensible livrant des gueulements autoritaires, dominants et directs. L’influence qu’a exercée le groupe au fil des décennies n’est plus à discuter. Swans fait partie de ces légendes qui ont transcendé les genres.
Oh ouiiiiii, qui a envie de ré-entendre la voix d'Ozzy ? Ça tombe bien. God is Dead le premier morceau du nouvel album de Black Sabbath, 13, à paraître le 11 juin prochain, a été lâché récemment. La production me dérange pas mal sur ce premier titre, mais laissons l'album arriver avant d'en dire plus. Il est toujours possible de voir et revoir les vidéos du groupe en studio pour patienter par ici.
Jamais deux sans trois, après la chronique de l'album, après l'entrevue avec Tomas Liljedahl, voici venu le moment de découvrir Feast on Your Gone en intégralité. Qu'ai-je besoin de rajouter à cela ? FONCEZ. N'oubliez pas que Feast on Your Gone est toujours disponible aux formats habituels sur le shop dePelagic Records.
Les Anglais d'Uncle Acid & the Deadbeats reviendront cette année et plus précisement le 15 avril avec un nouveau LP du nom de "Mind Control", et ce, toujours via Rise Above Records. Il y a un peu près un mois le groupe révélait un premier titre, "Poison Apple", d'ailleurs disponible sur un 7" à côté d'une piste inédite, puis un nouveau titre, psyché et entêtant comme on l'aime : "Follow the Leader". Si nous attendons Mind Control ? Foutre oui. Autant que de les découvrir prochainement sur une des scènes duRoadburn Festival 2013...
Imaginez Alice Cooper, l’original, jouer dans une cellule avec Black Sabbath à leurs débuts et les Stooges, tous inculpés de meurtre et vous aurez un aperçu de leur univers barré où les amplis à lampes explosent et où les cymbales s’écrasent. Quoi qu’il en soit, cette manipulation musicale n’est que la cerise sur un gâteau fou.
Mind Control est un concept album avec un thème qui ferait passer les Charles Manson et autre Jim Jones pour des enfants de choeur. Ce qui rend Mind Control plus effrayant que n’importe quel album, c’est qu’il ne paraît pas si sinistre à la surface qu’il ne l’est vraiment, son essence résidant dans un monde acide fait de torture et de douleur.
C'est Will qui avait posé leurs noms pour la première fois en ces lieux : Wolf, Tiger et Mammut, ou le trio très 70's berlinois connu sous le sobriquet de Kadavar reviendra via Nuclear Blast le 12 avril prochain pour nous injecter une nouvelle fois une bonne grosse dose de rock psychédélique. Pour en entendre plus c'est à la suite de l'article et à la Maroquinerie le 14 avril prochain, puisque le groupe sera de passage dans la capitale aux côtés des Français d'Abrahma et The Socks.