Faîtes résonner les trompettes de l’Apocalypse ! Rise Above vient de nous livrer un nouveau grimoire malévole. Garantie infernale ? C’est le taulier du label, l’ineffable Lee Dorian (ex Cathedral, ex Napalm Death) qui vient présider la messe noire, épaulé par les vétérans Tim Bagshaw et Mark Greening (ex Electric Wizard, ex Ramesses). Tout cela aurait pu donner un résultat très convenu, quoique très intéressant. Il n’en est rien.
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Rise Above
Formé initialement en 2014 par le guitariste/bassiste Tim Bagshaw et le batteur Mark Greening, ancienne section rythmique d'Electric Wizard et aussi membres de Ramesses, rejoints par la suite par le chanteur de Cathedral, Lee Dorrian, With the Dead proposera un premier album éponyme le 16 octobre prochain chez Rise Above. Au programme, de la lenteur, de la pesanteur, du gras, du lourd. Bref, aucune surprise : le trio va certainement faire parler de lui dans les prochains mois en faisant bouger quelques plaques tectoniques en Europe et on l'espère fort en Amérique du Nord. Pas grand chose pour étancher votre soif de lipides pour le moment à part un petit teaser mais promis, dès qu'on en a plus, c'est ici qu'on le partagera !
Histoire d'honorer comme il se doit la sortie de leur nouvel album The Night Creeper chez Rise Above le 4 septembre dernier, BASE Productions et Pelecanus.net s'associent pour vous faire gagner 2x1 place pour le concert d'Uncle Acid and the Deadbeats à Bordeaux le 15 octobre prochain.
Pour participer c'est toujours très simple :
1. On laisse un commentaire à la suite du billet pour être automatiquement ajouté à la liste des participants en répondant à la question suivante :
« Qui a tué le Docteur Lenoir, dans quelle pièce du manoir et avec quelle arme a été commis le meurtre ? »
2. On multiplie ses chances de gagner par 2 en participant aussi sur Twitter avec le bouton en dessous :
À la veille d’une tournée mondiale et de la sortie de son 3ème album concept chez Rise Above, Uncle Acid fait désormais partie de ces rares groupes qui ont réussi à se créer une identité musicale distinctive et un univers unique dans le paysage musical actuel. Face à une telle ascension, Kevin a du rompre avec l’anonymat qu’il aimait cultiver et prête désormais son image à sa musique. De passage à Paris pour assurer la promotion du prochain album d’Uncle Acid, The Nightcreeper, nous avons pu nous entretenir avec K.R Starrs, fondateur, compositeur, guitariste et chanteur.
Alors que vous pourrez les voir (ne pensez même pas les louper) en France comme au Québec à la rentrée, les Anglais d'Uncle Acid & the Deadbeats viennent d'annoncer la sortie de leur quatrième album : The Night Creeper. Après l'hommage au cinéma de la Hammer avec Blood Lust en 2011 et à celui des États-Unis post-hippies avec Mind Control en 2013, Uncle Acid offrira avec The Night Creeper une oeuvre puisant son inspiration dans une histoire tout droit sortie d'un vieux roman de gare qui aurait été adaptée en un film noir puis remis au goût du jour. Tout un programme. Quand on connait le talent et la volonté de proposer quelque chose de solide de Kevin Starr, il me tarde fort de découvrir ce nouvel opus. En attendant un premier extrait, ruez-vous sur des places de concert pour leur passage à l'automne. Et pour patienter vous pouvez toujours relire l'entrevue que nous avions fait du groupe en 2014.
C'était le 27 septembre dernier qu'Uncle Acid and the Deadbeats passait par Montréal au sein d'une toute première tournée Nord-Américaine. Originaire de Cambridge, le projet guidé depuis le tout début par K. R. Starrs, qui aime cultiver l'anonymat et l'absence totale d'images, est en perpetuelle ascension. Après avoir été rapatrié en 2011 chez Rise Above par Lee Dorian lui-même, le groupe finira par ouvrir pour Black Sabbath en Europe lors de leur tournée de 2013. Entre temps, beaucoup de travail. Deux albums, trois 7" et un univers de plus en plus riche. Rencontre avec Kevin donc, chanteur, guitariste et créateur d'un des groupes de rock les plus enthousiasmants du moment.
Crois-le ou non, mais j'aime le Japon (je prévois d'y aller très bientôt d'ailleurs), le stoner crouilleux, et les serial-killers (j'ai pas mal potassé le sujet ces dernières années). T'as compris le topo ou bien ? Je ne pouvais pas NE PAS être fan de Church of Misery. Je connais le groupe depuis ses débuts car je suivais de près Man's Ruin et Southern Lord à l'époque, labels qui avaient sorti respectivement leur premier EP et LP. Puis j'avais un pote (Jérôme de Salvation pour le citer) qui avait des contacts au Japon et auprès de qui j'ai pu récupéré pas mal d'éditions japonaises de leur matos (qui valent aujourd'hui un peu de ronds). Je ne les ai vus en revanche qu'à partir de 2008 une tripotée de fois, mais aucun de leurs concerts ne m'a déçu, titres énormes, son pharaonique, chanteur fou, et groove vicelard, que du bonheur...
On ne vous l'apprendra pas ici, les groupes rappelant les belles années du Rock et la naissance du Heavy (soit très largement fin 60 courant 70) se sont faits nombreux ces dernières années. De partout sur la planète ont surgit des groupes comme Graveyard, Orchid, Kadavar ou pour n'en rajouter qu'un, Ghost. Du bon, du moins bon selon les goûts et attentes de chacun. Mais la Grand-Bretagne, elle, peut se vanter d'avoir vu surgir un des groupes les plus intéressants, mystérieux et doués de cette vague passéiste : Uncle Acid and the Deadbeats.
Les Tokyoïtes sludger de Church of Misery reviennent cette année avec un album intitulé "The Kingdom Scum" (nom d'un morceau d'un de leurs précédents albums "Vol. 1") qui est paru le 11 juin dernier sur Rise Above / Metal Blade. Comme à chaque fois le groupe signe avec le titre (mais avec pas la pochette ce coup-ci) une référence à un groupe qui l'influence. Concernant cet album il s'agit d'une référence au groupeSir Lord Baltimore avec son opus intitulé "The Kingdom Come" sorti en 1970. Un live du morceau "Brother Bishop" tiré de ce nouvel opus fait office de clip promo et est visible à la suite du billet.
In Nomine Satanas... Quand l'occasion se présente d'avoir Ghost en entrevue, cela ne se refuse pas. Une des Ghouls nous explique ce qui se cache vraiment derrière les costumes et la mise en scène. Rencontre maléfique entre un des plus beaux représentants du Très-Bas en activité sur scène et une des plus sales raclures de la presse musicale depuis 1996.