En 2001, avec Jane Doe, Converge est au sommet de son art. Durant 45 minutes, le combo américain fait ici preuve d'une technicité tout simplement ébouriffante sans pour autant oublier d'afficher une puissance et une spontanéité épatantes.
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Au final, Book of Horizons n’est pas si barré qu’on pourrait le croire, et il porte merveilleusement son nom : cette galette est en fait un panel de diverses musiques très différentes les unes des autres. Le livret nous explique que les titres sont séparés en section (qui elles- même sont toutes mélangées, d’où le coté étrange tout de même). Les sections sont donc : « forms » : musique expérimentale moderne avec instrumentation très riche.« ishraqiyun » : musique d’influence arabe, avec une approche qui nous porterait droit au Maroc…« traditionalist » : musique d’influence western, avec un travail de composition proche de Ennio Moriccone « Holy vehm » : l’approche death metal du disque ! Tous les gimmicks du genre sont présents (voix, batterie…)« the electromagnetic azoth » : l’influence électronique (breaks, beats, gimmicks drum n’bass) « UR » : l’approche Surf music (avec reverb de guitare, ambiance plage, etc…).
Je n'ai pas eu le temps d'écouter Other, le disque d'origine. Mais le remix proposé ici par Brian "Lustmord" Williams est bien cool
Je me souviens en 2005, lorsque mon pote Manu et moi avions écouté le premier disque du groupe, et qu'on en était venu à la même conclusion : c'était un projet Post-Sleep vraiment inutile...
Il est vrai que Old Man Gloom s'est plus fait remarquer par son line-up à la base que par sa musique, et il y avait de quoi : Santos Montano (Zozobra), Aaron Turner (Isis), Caleb Scofield (Cave in) et Nate Newton (Converge). Et pour une fois, l'équation des talents cumulés fonctionne, Old Man Gloom n'étant pas un side project foireux pour membre désabusé n'ayant plus à tourner.
Bon, ce disque, on nous l'a rabâché en long et en large à cause de son line-up. C'est un bon disque mais sans plus je trouve. Je n'ai pas ressenti l'individualité des musiciens comme j'ai pu le lire ailleurs, l'ensemble donne des morceaux cohérents et en harmonie dans les contrées Stoner/70's.
L’association entre les sauterelles de San Diego et le vocaliste Mike Patton semblait inévitable, tant ces derniers partagent la même vision « frappée » de la musique. On croyait un split commun entre le quartet et Patton (un peu à la manière du EP de Dillinger Escape Plan), on a finalement le droit à un maxi de The Locust sur Ipecac Recordings.
Les mecs qui organisaient le ATP étaient fans du groupe, et ils leur ont demandé de participer à la série Don't look back. Le concept: les groupes doivent reprendre un de leurs grands classiques dans son intégralité.
J'adore parcourir mes archives et retomber sur de vrais petits bijoux qui restent encore aujourd'hui introuvables sur la toile ! Je vous ai donc uploadé aujourd'hui un reportage de 10 minutes sur l'enregistrement et la sortie du deuxième et excellentissime album de Red Sparowes sorti en 2006 : Every Red Heart Shines Toward the Red Sun. Le tout est composé d'interview de membres (dont le feu Josh Graham qui ne fait maintenant plus partie du groupe) de passages en studio et sur scène pour le plaisir des yeux et des oreilles. Enjoy !
Trouvé sur Self-titledmag.com nous vous proposons aujourd'hui une retranscription française d'une rétrospective post-mortem (toujours dur à écrire) de la discographie d'Isis par Aaron Turner lui même. Prêt pour un voyage de 13 ans en arrière ? Crédit photo : Mattbooy