Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
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Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Quoi de mieux qu'un événement organisé par l'équipe montréalaise de Pelecanus.net pour briser les 2 ans d'absence en ville ? Retrouver ses amis, remettre les pieds dans une salle dont on connait le moindre cadre pendu au mur, mais avec une fracture temporelle de 2 ans. Étrange sentiment vite balayé après quelques bières et lorsque la salle se remplie puis laisse place aux premiers grondements d'une soirée fortement sous le signe du drone et de l'ambient.
Ça y est l'automne est là et bien là. On se caille, il pleut, la grisaille nous ruine le moral. Bref les conditions idéales pour aller voir ces deux formations pas si antagonistes que certains le pensaient. La douce noirceur de Chelsea Wolfe pour commencer suivie par la puissance glaciale de Russian Circles, le tout dans un Divan du Monde complet depuis déjà bien longtemps. Retrouvez (revivez) toutes ces impressions dans mes photos.
En 2011 les Black Angels et la Reverberation Appreciation Society créent le Austin Psych Fest au Texas. Et cette année ils ont décidé de l'exporter à Angers. Pour cette première édition, peu de battage autour du fest, l'idée étant d'avoir un public de connaisseurs qui répondront présents puisque le fest était complet depuis quelques semaines, rassemblant 2000 personnes sur les deux jours. Pour l'occasion, un bon nombre de festivaliers venant d'Espagne, de Belgique, d'Angleterre, d'Allemagne et de Hollande avaient fait le déplacement. Au programme pas moins d'une vingtaine de groupes sélectionnés par l'équipe du Austin Psych Fest, l'organisation et la promotion seront gérées de belle façon par l'équipe du Chabada. Quelques belles découvertes comme Camera, une déception avec l'hystérie barbante de The Telescope, un plaisir mystique avec Dead Skeleton. Pour une première édition c'était une belle réussite, l'orge, l'ambiance, l'organisation, aucune anicroche. Vivement la prochaine édition.
En 2011 les Black Angels et la Reverberation Appreciation Society créent le Austin Psych Fest au Texas. Et cette année ils ont décidé de l'exporter à Angers. Pour cette première édition, peu de battage autour du fest, l'idée étant d'avoir un public de connaisseurs qui répondront présents puisque le fest était complet depuis quelques semaines, rassemblant 2000 personnes sur les deux jours. Pour l'occasion, un bon nombre de festivaliers venant d'Espagne, de Belgique, d'Angleterre, d'Allemagne et de Hollande avaient fait le déplacement. Au programme pas moins d'une vingtaine de groupes sélectionnés par l'équipe du Austin Psych Fest, l'organisation et la promotion seront gérées de belle façon par l'équipe du Chabada. Quelques belles découvertes comme Camera, une déception avec l'hystérie barbante de The Telescope, un plaisir mystique avec Dead Skeleton. Pour une première édition c'était une belle réussite, l'orge, l'ambiance, l'organisation, aucune anicroche. Vivement la prochaine édition.