Choisie pour figurer en première partie de la tournée, la Suédoise Christine Owman n’est pas inconnue au bataillon puisqu’apparaît à son palmarès une collaboration avec le précieux Mark Lanegan notamment. Sa musique se révèle à l’épreuve du concert pourtant sensiblement éloigné du rock sombre et gothique de l’ancien chanteur des Screaming Trees et navigue davantage du côté des rivages défrichés parPortishead vingt ans plus tôt. Owman ne se contente ainsi pas que de chanter et jouer avec talent de son violoncelle mais gère également les samples tout en portant ses compositions jusqu’à diverses inflexions, efficacement soutenues par la variété instrumentale dont elle fait preuve (apparaissent ainsi ukulélé et banjo).
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J'ai beau faire beaucoup de concerts, je dois avouer que ça me fait toujours un peu bizarre de sortir de mes genres habituels. Ce soir, ça sera effectivement le cas, La Dispute étant un groupe que partagent pas mal les fans des musiques qui commencent par "post". Un public donc totalement différent, avec beaucoup moins de barbes et beaucoup plus de demoiselles aux cheveux aux couleurs relativement exotiques; peu voire pas du tout de visages familiers dans le public, ni même parmi les photographes... Seule constante ce soir donc : la Flèche d'Or et son éclairage que j'aime toujours autant, et ce sans ironie aucune. Après une intro inattendue et une première partie plutôt solide, ce fut un concert qui divisera de bout en bout le public : d'un côté les fans conquis, et de l'autre, les vieux cons qui trouvent que c'était mieux avant...
J'ai beau faire beaucoup de concerts, je dois avouer que ça me fait toujours un peu bizarre de sortir de mes genres habituels. Ce soir, ça sera effectivement le cas, La Dispute étant un groupe que partagent pas mal les fans des musiques qui commencent par "post". Un public donc totalement différent, avec beaucoup moins de barbes et beaucoup plus de demoiselles aux cheveux aux couleurs relativement exotiques; peu voire pas du tout de visages familiers dans le public, ni même parmi les photographes... Seule constante ce soir donc : la Flèche d'Or et son éclairage que j'aime toujours autant, et ce sans ironie aucune. Après une intro inattendue et une première partie plutôt solide, ce fut un concert qui divisera de bout en bout le public : d'un côté les fans conquis, et de l'autre, les vieux cons qui trouvent que c'était mieux avant...
J'ai beau faire beaucoup de concerts, je dois avouer que ça me fait toujours un peu bizarre de sortir de mes genres habituels. Ce soir, ça sera effectivement le cas, La Dispute étant un groupe que partagent pas mal les fans des musiques qui commencent par "post". Un public donc totalement différent, avec beaucoup moins de barbes et beaucoup plus de demoiselles aux cheveux aux couleurs relativement exotiques; peu voire pas du tout de visages familiers dans le public, ni même parmi les photographes... Seule constante ce soir donc : la Flèche d'Or et son éclairage que j'aime toujours autant, et ce sans ironie aucune. Après une intro inattendue et une première partie plutôt solide, ce fut un concert qui divisera de bout en bout le public : d'un côté les fans conquis, et de l'autre, les vieux cons qui trouvent que c'était mieux avant...
J'ai beau faire beaucoup de concerts, je dois avouer que ça me fait toujours un peu bizarre de sortir de mes genres habituels. Ce soir, ça sera effectivement le cas, La Dispute étant un groupe que partagent pas mal les fans des musiques qui commencent par "post". Un public donc totalement différent, avec beaucoup moins de barbes et beaucoup plus de demoiselles aux cheveux aux couleurs relativement exotiques; peu voire pas du tout de visages familiers dans le public, ni même parmi les photographes... Seule constante ce soir donc : la Flèche d'Or et son éclairage que j'aime toujours autant, et ce sans ironie aucune. Après une intro inattendue et une première partie plutôt solide, ce fut un concert qui divisera de bout en bout le public : d'un côté les fans conquis, et de l'autre, les vieux cons qui trouvent que c'était mieux avant...
Arrivé à la Maroquinerie pile à l'heure en ce lundi soir, je me heurte pour la deuxième fois en un mois à un problème avec mon pass photo. Cependant, le monsieur au guichet étant bien plus sympathique et coopératif que celui d'une autre salle que je ne nommerai pas, ma seule pénalité sera d'avoir loupé la première partie, paraît-il excellente, mais beaucoup trop courte. Pas grave, je suis dedans à temps pour le début de Uncle Acid, et le moins que je puisse dire, c'est que le groupe pète la forme, en enchaînant riffs groovy et solos parfaitement maitrisés. Entre deux coups d'oeil dans le viseur de mon appareil photo, je me fais la remarque que la difficulté de ce soir ne réside pas dans le faible jeu de lumières, mais plutôt dans le fait que trois quart du groupe pourraient très bien être des sosies officiels du Cousin Machin dans la Famille Addams.
Lundi 17 mars 2014. Encore une soirée de schisme dans la communauté post-anything de Paris. D'un côté Corrosion of Conformity, qui ne sont pas passé dans le coin depuis whatmille ans, d'un autre côté Grails. S'il s'agissait d'un autre groupe, j'aurais peut-être hésité à rejoindre tout le reste de la rédac' pour une bonne dose de gras, mais on parle là de Grails, collectif que j'avais hâte de voir depuis au moins 4 ans. Et je n'ai pas regretté mon choix un seul instant, tant le show (et celui de la première partie) fut magistral. Bref, je m'en doutais déjà, je le confirme maintenant dans un calembour initialement involontaire: Grails, c'est sacré.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.
Red Kunz. Derrière ce nom énigmatique se cache une chimère musicale composée de deux batteurs et de deux bassistes-chanteurs. Et pas n’importe lesquels : d’un côté la moitié de Red Fang, Aaron Beam et John Sherman, et de l’autre Kunz, duo formé par Louis Jucker et Luc Hess, également membres de Coilguns. Après une semaine intensive de composition et d’enregistrement (un LP devrait d’ailleurs voir le jour chez Hummus Records dans un futur proche), tout ce petit monde est monté sur scène le 17 Janvier pour présenter le fruit de ce dur labeur devant un Romandie plein à craquer.