Depuis son premier album, How hate is hard to define, Plebeian Grandstand a montré sa capacité à définir de mieux en mieux la haine qu’ils ressentent tout en brouillant les pistes vis-à-vis de leur identité. Plus black metal que les peinturlurés norvégiens, plus hardcore que ton oncle avec son bandana Madball, les Toulousains tracent une route qui leur est propre, sans regarder la concurrence, sans vouloir faire plus que les autres mais toujours mieux que leurs propres disques. Ivo et Olivier, respectivement batteur et bassiste du groupe depuis le deuxième album, ont accepté de répondre à quelques questions sur leur musique, ce que représente le black metal pour eux et comment continuer à assurer en tournée quand on met des blasts partout.