Quelques heures seulement avant le show de The Order Of Israfel au Desertfest Londonien (26-04-2015), Tom Sutton se tient devant le backstage de la mythique salle du Koko. Très à l'aise dans son jean pattes d'Eph', le guitariste et frontman se livre à mes questions armé d'un immense sourire suédois. Il faut dire que le Monsieur n'en est pas à sa première interview. Ex Church Of Misery, Tom Sutton gratte désormais la six cordes chez Horisont et plus récemment chez Night Viper. Il est le digne représentant de la fertile mafia musicale de Göteborg, en Suède, qui a vu naître bon nombre d'amateurs de musique lourde et lente. Des origines qui le guident tout au long de son parcours musical...
Vous êtes ici
Entrevues
Cette troisième et dernière partie présente les émules que les soirées lourdes ont pu susciter. En cinq ans les Stoned Gatherings ont largement gagné en notoriété et sont devenues une véritable référence pour les groupes qui y jouent. Des associations similaires naissent dans toute la France, s’inspirant d’un modèle solide et fructueux. Jamais à court d’idées, les heavy shows parisiens se lancent dans un festival, le Doom Gatherings, dans des soirées toujours moins chères, au Klub, et même dans une web TV. Ce n’est qu’un début, car les Stoned Gatherings ont bien d’autres ressources…
Pelecanus revient sur 5 ans de « Heavy Shows » à Paris avec un documentaire inédit et en trois parties sur le développement des concerts Stoned Gatherings. La deuxième partie du documentaire se penche sur l’emménagement des fameuses soirées lourdes à Glazart. Le changement de salle marque un tournant important pour l’organisation. Le lieu offre de nouvelles perspectives, notamment celle de mettre en place des DJ sets après les concerts. Grâce à l’arrivée de Nico et de sa structure Dead Pig Entertainement, ainsi qu’à l’étoffement de leur staff, les Stoned Gatherings tissent un véritable réseau de fidèles, une famille… Les Stoned Gatherings c'est plus que des concerts.
On vous en a parlé il y a peu, Revok a sorti un nouvel album intitulé Bunt Of Grau (2015, Music Fear Satan). Ne reculant devant aucune aventure, le Pelican toujours intrépide a plongé jusque dans le ventre de la baleine (ndlr : nom de leur local de répét') pour tenter de faire cracher quelques explications aux ombrageux Parisiens. Une interview en vidéo par Andrey, Patrick et Matiu.
Pelecanus.net revient sur 5 ans de « Heavy Shows » à Paris avec un documentaire inédit et en trois parties sur le développement des concerts Stoned Gatherings. Cette première partie du triptyque reprend l’installation de l’orga dans la région parisienne depuis ses débuts. Non, « Il n’y avait pas de stoner à Paris, à l'époque… » nous précisent Mathieu et Nico. Tout reste faire : trouver une salle, rassembler des fidèles, se fixer une ligne de programmation, bien s’entourer ou encore se trouver un nom. Un véritable parcours d’initiation qui a contribué à poser de solides bases, et qui place aujourd’hui les Stoned Gatherings parmi les organisations phares de la scène heavy en France.
Pelecanus.net revient sur 5 ans de « Heavy Shows » à Paris avec un documentaire inédit et en trois parties sur le développement des concerts Stoned Gatherings. Cette première partie du triptyque reprend l’installation de l’orga dans la région parisienne depuis ses débuts. Non, « Il n’y avait pas de stoner à Paris, à l'époque… » nous précisent Mathieu et Nico. Tout reste faire : trouver une salle, rassembler des fidèles, se fixer une ligne de programmation, bien s’entourer ou encore se trouver un nom. Un véritable parcours d’initiation qui a contribué à poser de solides bases, et qui place aujourd’hui les Stoned Gatherings parmi les organisations phares de la scène heavy en France.