Pelecanus.net revient sur 5 ans de « Heavy Shows » à Paris avec un documentaire inédit et en trois parties sur le développement des concerts Stoned Gatherings. Cette première partie du triptyque reprend l’installation de l’orga dans la région parisienne depuis ses débuts. Non, « Il n’y avait pas de stoner à Paris, à l'époque… » nous précisent Mathieu et Nico. Tout reste faire : trouver une salle, rassembler des fidèles, se fixer une ligne de programmation, bien s’entourer ou encore se trouver un nom. Un véritable parcours d’initiation qui a contribué à poser de solides bases, et qui place aujourd’hui les Stoned Gatherings parmi les organisations phares de la scène heavy en France.
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Entrevues
Pelecanus.net revient sur 5 ans de « Heavy Shows » à Paris avec un documentaire inédit et en trois parties sur le développement des concerts Stoned Gatherings. Cette première partie du triptyque reprend l’installation de l’orga dans la région parisienne depuis ses débuts. Non, « Il n’y avait pas de stoner à Paris, à l'époque… » nous précisent Mathieu et Nico. Tout reste faire : trouver une salle, rassembler des fidèles, se fixer une ligne de programmation, bien s’entourer ou encore se trouver un nom. Un véritable parcours d’initiation qui a contribué à poser de solides bases, et qui place aujourd’hui les Stoned Gatherings parmi les organisations phares de la scène heavy en France.
Le rendez-vous était donné au Vin des Vivants, une belle cave à Lyon qui ouvre une partie bar en soirée. Un lieu parfait pour rencontrer le fondateur de Wine and Noise, ce blog lyonnais qui parle de viticulture et musique indépendante. Porte close exceptionnellement ce soir là… Voilà qu’on se retrouve sur une terrasse quelconque et qu’en plus on se met à boire une bière tout aussi quelconque. Merde. On a vraiment fait ça comme des punks au final !
Le rendez-vous était donné au Vin des Vivants, une belle cave à Lyon qui ouvre une partie bar en soirée. Un lieu parfait pour rencontrer le fondateur de Wine and Noise, ce blog lyonnais qui parle de viticulture et musique indépendante. Porte close exceptionnellement ce soir là… Voilà qu’on se retrouve sur une terrasse quelconque et qu’en plus on se met à boire une bière tout aussi quelconque. Merde. On a vraiment fait ça comme des punks au final !
Avec son groupe Portobello Bones, Lionel Fahy a été, durant une dizaine d’années, l’un des fers de lance de la scène indé française. Rencontre avec un artiste protéiforme incarnant l’esprit DIY et alternatif, de la musique au tatouage.
Avec son groupe Portobello Bones, Lionel Fahy a été, durant une dizaine d’années, l’un des fers de lance de la scène indé française. Rencontre avec un artiste protéiforme incarnant l’esprit DIY et alternatif, de la musique au tatouage.