Il est 10h, Clisson s’éveille. À la rumeur excitée des deux premiers jours de festival, le dimanche matin étonne toujours par son calme relatif. On croise les sales mines des campeurs, éprouvés par trois jours de grande fiesta globale. Flottement étrange où les coreux en casquette et les vikings cornus ressemblent bien plus à des zombies de cinéma bis qu’à des guerriers.