Étonnamment, je mets un temps record à traverser une partie de l’île de France pour me retrouver au milieu de la capitale, pas trop encombrée de bouchons en ce début de week-end printanier. J’imagine que mon prochain périple similaire sera une vengeance du destin et que je mettrai probablement une plombe à m’extraire d’une circulation bien trop dense. Petit bonus : je ne tourne même pas autour de la rue Boyer, je trouve de quoi parker mon automobile en un temps, lui aussi, record. Je fais une croix dans l’agenda. Lecteur, tu te dis que tu te fous royalement de mon histoire. Tu auras raison. Mais il faut bien introduire un article qui raconte un concert et à part t’expliquer que l’audience est massivement composée de jeunes gens habillés en noir –pas un scoop- je n’aurais pas grand chose d’autre à écrire. Sur place je retrouve rapidement mon co-équipier du pélican, Andrey, votre fournisseur iconographique mesdames et messieurs, et je constate qu’il a encore grandi depuis notre dernière rencontre. Il me soutient que non, je suis persuadé que c’est une ruse.
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Tomi Leppänen
Par DMDFC
le 04/06/2014 - 15:15
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