« Un soldat est un esclave en uniforme ». Celui de l'Anglais Samuel Kerridge ? Un petit ensemble pantalon/polo noir intégral. Ses maîtres ? Le beat sale et les ambiances plus lourdes que tous les chars KV produits par l'armée russe pendant la seconde guerre mondiale. Sous ses ordres ? Laptop, claviers maîtres et autres tables de mixage, prêts à s'engager dans une guerre éclaire avec n'importe quel système auditif un peu trop curieux.