Voix enrouée, cervicales douloureuses… J’émerge à peine d’une nuit beaucoup trop courte que déjà, les excès de la veille se rappellent à mon bon souvenir. Quand on a un minimum d’expérience du Hellfest, on sait que le deuxième jour est déterminant pour la suite du festival. Pas question donc de laisser la fatigue s’installer ni les petits bobos nous gâcher l’existence. Une seule solution : paracétamol, jus d’orange à volonté et petits pains au lait (il faut bien prendre des forces !).