Rorcal fait du doom, ok mais moi le doom je n'y connais rien, en plus ces mecs sont des potes alors faire leur chronique c'est un peu comme faire monter Berlusconi dans un bus de jeunes cheerleaders, c'est dangereux. Tout à coup, j'ai pris un gros coup de batte derrière la nuque, l'éthique d'écriture me serre à la gorge comme un anaconda boufferait un mouton, faire ou ne pas faire ? Finalement, ne connaissant rien au doom je me lance et étant plutôt arriviste patenté, je n'ai rien à perdre, si ce n'est les 666 bières qu'ils doivent m'offrir parce que je parle de leur album...