Après deux excellents albums que l’on qualifierait de “metal-doom-industriel”, le groupe français le plus mystérieux d’entre tous récidive avec une troisième galette qui ressemble ni plus ni moins qu’à l’atteinte d’un Hades musical. On parle même de mettre P.H.O.B.O.S. sensiblement dans le même bain que Godflesh et les Swans de la première heure.