Le printemps arrive et avec lui les beaux jours: la nature s'éveille, les oiseaux chantent et le soleil s'attarde en notre humble compagnie. Sauf que voilà, la pseudo-poésie printanière ça va bien deux minutes. A quoi bon l’insupportable gazouillis des oiseaux et le rhume des foins, quand le CzarFest propose deux jours de brisage de cervicales sous musiques grasses à un volume que le commun des mortels jugerait franchement indécent ?