« Je ne suis pas fou… » Le mantra des narrateurs des récits lovecraftiens est connu. Sommités scientifiques pour la plupart, ils incarnent la raison au sens fort d’un positivisme omniscient. Quoi qu’il ait eu devant les yeux, difficile de lui reprocher d’affabuler. « Une porte nouvelle sur les secrets de la terre profonde et les éternités disparues » ? Je ne suis pas fou. Des « montagnes hallucinées dont les versants plus lointains veill[ent] sur quelque abysse maudit » ? Je ne suis pas fou.