Le nom Samuel Kerridge ne vous dit peut-être rien et pourtant, il y a en ses lettres l’annonce d’une fin du monde prochaine. Si l’on devait comparer la musique de l'artiste à une peinture, on choisirait L'Apocalypse d’Albrecht Dürer. Le jeune Britannique se présente à nous sans grande prétention, avec son corps longiligne étiré comme une perche et ses cheveux bruns négligemment plaqués sur son front. On ne peut véritablement pas le soupçonner de fricoter avec les puissances telluriques.