Pourquoi une chronique d'un album de Amon Tobin chez Pelecanus ? Tout d'abord, parce que j'ai demandé la permission et que le Grand Chef me l'a donnée. Ensuite, et surtout, parce que je connais l'Omnipotent cité précédemment, ainsi que certains autres membres de cette rédaction et que nous partageons le fait de ne pas être des monomaniaques musicaux aigris et orthodoxes. Et puis cet album est un bijou. Dernier point, peut-être le plus important : si vous n'êtes pas contents, ma réponse tient en un majeur tendu bien haut vers le ciel.