Dylan Carlson fait partie de ces musiciens dont le talent n'a d'égal que leur invraisemblance. Armurier d'un triste jour pour Kurt Cobain, drug-addict ayant élevé la musique à un niveau métaphysique rare, Carlson est un homme aux goûts défrayant la chronique (cf l'influence du groupe Tuareg nommé Tinariwen dans les influences de Angels Of Darkness, Demons Of Light I ou la forte impact de son amour pour la musique Country ou Jazz dans ses dernières compositions). Voici donc une anthologie des albums l'ayant fortement impacté tout au long de sa vie publiée aujourd'hui sur le site Pitchfork.com et traduit instantanément par nos soins.

Démarrage avec un titre d'intro Drone absolument envoutant qui mérite à lui seul l'achat du disque. Digne d'une perle des Pink Floyd, cette intro porte au panthéon Boris, formation atypique et géniale du rock nippon.

Final Breath, morceau de Pelican à la saveur particulière car non-instrumentale, se dévoile à nos yeux à travers un clip à mi-chemin entre le périple métaphysique et la randonnée macroscopique. Attention les yeux, c'est beau.

Deux ans après City of  echoes, Pelican annonce la sortie d'un tout nouvel EP qui s'intitulera Ephemeral. Sortie prévue pour le 06 juin 2009 via Southern Lord Records au format vinyl /digital et CD sur le label de Trevor de Brauw, Migration Media .