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Vincent Duke

Portrait de Vincent Duke
À propos: 
Journalist, radio speaker, PR guy, booker, crate digger, community manager, promoter. Je pourrais aussi l'écrire en français, il est vrai...
Le 08/11/2011 - 07:32
Magdalena Solis - Hesperia (2011)

Non, il ne s'agit pas de la Grande Prêtresse du Sang mexicaine des années 60 (bordel, pas à dire, la famille Manson n'en a été qu'une preuve de plus, on savait comment s'amuser à cette époque...) mais d'un groupe belge. Trois Belges pour être précis. A noter que, avant l'année dernière et un premier album sobrement intitulé "Lady Of The Wild Things" (grrrrrrrrrrrr... Toi même tu sais...), ils n'avaient jamais fait de musique avant ce que vous allez écouter (lire entre les lignes : "et ben putain...").

Le 08/10/2011 - 08:15
Quand Black Flag devient Black Face : interview exclusive avec Eugene S. Robinson

La nouvelle est tombée : Eugene S. Robinson et Chuck Dukowski montent un groupe qui s'appelle Black Face. Le premier est le chanteur de Oxbow, un journaliste et auteur de talent. Le second est un des fondateur, bassiste et compositeur de pas mal des titres les plus percutants de Black Flag et travailla également chez le mythique label SST.

Le 08/07/2011 - 17:32
Amon Tobin - Isam (2011)

Pourquoi une chronique d'un album de Amon Tobin chez Pelecanus ? Tout d'abord, parce que j'ai demandé la permission et que le Grand Chef me l'a donnée. Ensuite, et surtout, parce que je connais l'Omnipotent cité précédemment, ainsi que certains autres membres de cette rédaction et que nous partageons le fait de ne pas être des monomaniaques musicaux aigris et orthodoxes. Et puis cet album est un bijou. Dernier point, peut-être le plus important : si vous n'êtes pas contents, ma réponse tient en un majeur tendu bien haut vers le ciel.

Le 07/12/2011 - 15:32
The Gates of Slumber - The Wretch (2011)

Parfois, il n'est pas question de réfléchir. D'intellectualiser quoi que ce soit ou de chercher le pourquoi du comment. Non, il est existe des moments où il s'agit juste de lâcher la Bête tapie tout au fond des recoins les plus noirs de son âme dans un déchaînement de fureur et de la laisser ravager sans discernement tout ce qui se trouve à sa portée. Pas de quartier, pas de pitié, pas de remords. Seulement les yeux illuminés d'un éclat où se mêlent folie et passion avec le goût ferreux si particulier du sang qui vous emplit la bouche, un rictus malsain vissé sur le visage. Passage à tabac, phalanges qui craquent, cerveau parcouru d’électro-chocs de Haine, violence et insanité. Le tout bercé par une petite musique douce. Enfin, douce... Pas tant que ça, mais dans ce genre de moment...

Le 07/09/2011 - 17:32
White Hills - H-P1 (2011)

Cela fait plus de 15 ans que j'écoute de manière « professionnelle » de la musique, que je fais des concerts un peu partout dans le monde. Je possède une collection de quelques milliers de vinyles, plus des centaines de gigas sur des disques durs. J'ai la chance d'avoir des amis tout aussi fous de musique qui m'ont fait, et continuent de le faire, découvrir des groupes fantastiques, d'autres scènes musicales que celles auxquelles je m'intéressais de prime abord. Je passe une partie de mon temps sur cette planète à faire des recherches de rat de bibliothèque pour découvrir de nouveaux groupes, qui a travaillé avec qui, les connections. Creuser. Toujours plus. Par passion. Par amour.

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