Vous êtes ici

Roadburn 2016 : 5 raisons d’y aller (1/3)

Portrait de Andrey
Roadburn 2016 : 5 raisons d’y aller (1/3)

A-t-on besoin de présenter le Roadburn ? Est-il encore nécessaire d’en chanter les louanges ? Pour bon nombre d’entre nous, sa simple évocation fait instantanément naître des étoiles dans les yeux. Si vous suivez régulièrement ce qui se passe chez Pelecanus, vous savez déjà qu’une partie de l’équipe s’y rend chaque année. 2016 ne fera pas exception à la règle mais en attendant de vous le faire (re)vivre, nos trois futurs festivaliers vous expliquent pourquoi ils attendent cette édition avec autant d’impatience. C’est à Andrey que revient l’honneur de débuter cette mini-série d’articles. Bonne lecture et rendez-vous à Tilburg !

Parce que Converge jouera un set spécial "Blood Moon"

Qu'est-ce donc ? Oh, juste un set se focalisant sur les morceaux les plus calmes et rares du groupe, avec un tas de guests de renommée tels que Steve Von Till, Stephen Brodsky, ou encore Chelsea Wolfe. Mais, me direz-vous, ils font une tournée entière avec ce set, on s'en fout un peu en fait, non ? Et bien si vous n'en avez pas assez, Converge jouera aussi un set composé de Jane Doe dans son intégralité. Pour la première et dernière fois, donc vous avez intérêt à être là.

 

Parce que Hexvessel jouera un set spécial avec Arktau Eos

Bien que, comme la majorité, je connaisse surtout le premier des deux groupes et leur excellent album Dawnbearer, je dois avouer qu'un set décrit comme "une messe unique, réunissant les meilleurs groupes mystiques/occultes de Finlande", ça vend quand même du rêve.



Parce que la Terre entière jouera un set spécial, putain

Pentagram ? Set spécial "best of Pentagram". Amenra ? Set spécial acoustique (des années que j'attends ça). Neurosis ? Set spécial "vieux albums". Misþyrming ? Set spécial avec deux groupes islandais de "black metal-influenced ritual drone". Et deux autres sets au passage, parce que Misþyrming, ça défonce.



Parce que c'est un festival sans les défauts des festivals

Vous rêviez d'un festival sans boue, sans déguisements, avec un choix de bouffe autre que "kebab dégueulasse et bière", à échelle "humaine" et surtout sans un seul drapeau breton ? Situé en plein centre-ville et rempli de gens au look "doomster", le Roadburn ressemble plus à un gros concert de votre groupe préféré qu'à un vrai festival. Sauf qu'il y a trois concerts en même temps, dont un dans une ancienne église, et qu'il y a constamment une chance sur deux de croiser Mike Scheidt au détour d'une ruelle.

 

Parce que c'est l'occasion parfaite pour faire des bonnes découvertes

Si vous me lisez de temps en temps, vous avez sûrement remarqué que la phrase "J'ai découvert ce groupe au Roadburn" est assez fréquente dans mes textes. Il y a une raison à ça. Même si la majorité de la programmation touche de près ou de loin à la scène doom/stoner/psyché, tous les ans nous avons aussi droit à des groupes de folk, de death metal ou encore de hardcore. Une chose les réunit cependant : la quasi-totalité des groupes sont vraiment bons dans leur genre. C R O W N, Golden Void, Der Weg Einer Freiheit, The Heads, Eternal Tapestry, Terra Tenebrosa... la liste est sans fin pour ma part. Bref, on ne va pas au Roadburn uniquement pour voir des groupes qu'on connaît déjà, mais aussi pour découvrir des nouvelles choses en déambulant au hasard devant les salles.

Roadburn 2016 : 5 raisons d’y aller (1/3)
J'aime les ours, le whisky et les internets.

Ajouter un commentaire

CAPTCHA
Cette question sert à vérifier si vous êtes un visiteur humain ou non afin d'éviter les soumissions de pourriel (spam) automatisées.
5 + 1 =
Trouvez la solution de ce problème mathématique simple et saisissez le résultat. Par exemple, pour 1 + 3, saisissez 4.