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Chino Moreno

le 04/16/2016 - 20:00

Qui mieux que Deftones aura su traverser les décennies sans perdre de grandeur ? Malgré une première écoute mitigée de leur nouvel album Gore, véritable étape pour Deftones suite à la disparition de Chi Cheng (ndlr : qui était le bassiste du groupe depuis 1988, décédé suite à un accident en 2013), c'est toujours avec un léger hochement de tête bienheureux et nostalgique que j'accueille les gros riffs et déraillements de voix de Chino. Ci-dessous un récent passage du groupe au Jimmy Kimmel Live!

le 08/08/2013 - 17:31
Palms - Palms (2013)

Palms a déployé en juin son premier album non pas sans une attente vigilante. L’annonce en avril que trois ex-membres d’ISIS s’alliaient au toujours pertinent Chino Moreno de Deftones a causé une frénésie certaine sur la planète alt et post. Aaron Harris (batterie), Jeff Caxide (basse), Clifford Meyer (guitare/synthé) et Moreno, arrivé sur le tard alors que les trois autres bricolaient de leur côté, livrent donc avec Palms un album de dream-metal cohérent, techniquement solide tant dans l’exécution que la production, mais un tantinet trop linéaire. L’opus, qui s’étend sur 48 minutes en six pièces, aligne certes des moments intéressants, mais sa précision chirurgicale ne convainc pas. Dissection de cet album pluriforme et nuancé.

Par Andrey
le 02/24/2013 - 07:15
Deftones + Letlive 23/02/2013 @ Le Trianon, Paris

Pour moi, c'est clair : Deftones est un groupe unique. Non seulement parce qu'il a grandement contribué à la création de tout un genre ayant fait le bonheur des ados des années 90, mais aussi parce qu'il a réussi à faire ce que peu de groupes ont réussi : remonter la pente après un passage à vide. Non pas que l'album éponyme et Saturday Night Wrist étaient mauvais, loin de là, mais s'il y a cinq ans j'aurais hésité à aller les voir en live, aujourd'hui, en 2013, j'y suis allé les yeux fermés. Deux soirs d'affilée.

le 11/29/2012 - 13:45
Deftones - Koi No Yokan (2012)

Premièrement, regardez cette photo, je suis le gars à gauche de Chino Moreno : très souriant; heureux. Le genre de sourire qu’un billet VIP à 125$ pour un spectacle de Deftones au Métropolis de Montréal lors de la tournée en support de l’album Diamond Eyes (2010) vous procure. Certains pourront remettre en question l’utilité de payer pour ce genre de service VIP, c’est-à-dire une rencontre de 10 secondes pour une photo et quelques poignées de main avec ces hommes. Ce à quoi je réponds simplement : « dude, c’est the fucking Deftones! ». Car oui, depuis que j’ai découvert la musique à tendance lourde à travers le nu-metal lors de mon adolescence, je suis fan assidu de Deftones. Contrairement à leurs pairs nu-métalleux, ils ont réussi à se démarquer de cette étiquette affreuse et chacun de leurs albums est plus que solide. Diamond Eyes m’avait surpris, par la façon dont le groupe a réussi, en se forgeant un son unique qui leur appartient et qu’il maitrise à merveille, à être légitimement actuel. Par contre, si Deftones m’a déçu par le passé c’était par leur prestation live. Je me souviens les avoir vus dans un gymnase avec un son pourri et j’éprouvais réellement de la difficulté à différencier les titres tellement leur interprétation était bâclée. Mais surprise! Voilà qu’à la suite de Diamond Eyes, malgré le malheureux accident de voiture qui mettra le bassiste Chi Cheng dans un long coma depuis 2009, le groupe est au sommet de sa forme. Les querelles d’égo mises de côté et une perte de poids plus tard, Deftones a su me surprendre, cette fois sur scène. Alors tout cela dit, étant plus fan que jamais, j’écoute le tout nouveau Koi No Yokan. Je le réécoute, et le réécoute, et le réécoute, et le réécoute… Cette consommation un peu abusive est-elle un bon signe ?

le 04/25/2012 - 10:33
Palms : quand Deftones rencontre Isis

Je vais mettre les choses au clair de suite. Je n'ai pas bu. Je n'ai rien pris. Et il s'agit probablement de la news qui n'a, à la hauteur de son énormité, que l'intérêt qu'elle va susciter dans les chaumières. Nous savions déjà que 3 membres d'Isis bidouillaient des trucs dans leur coin, conduit principalement par l'ancien batteur/ingé son Aaron Harris. Et bien figurez-vous qu'ils ont mobilisé notre Chino Moreno international pour venir poser son chant déchiré sur leurs instrus. Ouais. Là maintenant je suis curieux, j'ai peur, mais je suis curieux, mais j'ai peur. Bref vous l'aurez compris, je me demande FOUTREMENT ce que ça va donner. Rendez-vous dans quelques jours pour connaitre la date précise de sortie, pour le moment nous savons juste que cela sortira chez Ipecac. Source : Speakeasy

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