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Entrevues

Par Théo
le 03/31/2014 - 17:20
[Entrevue] Kruger : "Aujourd'hui, on repart de rien"

12 ans. Ça fait 12 ans que Kruger en fait voir de toutes les couleurs à tout bon fan de sludge qui se respecte. Ils ont récemment sorti 333, un vinyle deux titres après quatre LPs bien remarqués. Pour le supporter, une tournée avec Gojira, dont un passage au Bataclan. C'était une superbe occasion pour Pelecanus.net d'aller discuter musique et scène suisse romande avec eux. Crédits photos : Anthony Dubois

Par Floriane
le 01/28/2014 - 10:33
Truckfighters : "Universe a un peu plus de tout"

Les Suédois de Truckfighters, connus pour leurs lives survoltés, étaient de passage à Paris pour la promo de leur dernier LP, Universe. L'occasion de faire le point avec Ozo et Poncho sur ce quatrième album qui aura mis presque cinq ans à voir le jour. Une longue gestation qui s'explique en partie par de très longues tournées et une volonté de produire un opus novateur, qui se démarque clairement de ce que le groupe a pu faire jusqu'ici. Epinglés de « meilleur groupe qui n'ait jamais existé » par Josh Homme dans le documentaire Fuzzomentary, les Truckfighters continuent d'expérimenter et de produire des morceaux qui puisent dans des genres musicaux très diversifiés.

Par Floriane
le 01/28/2014 - 10:33
Truckfighters : "Universe a un peu plus de tout"

Les Suédois de Truckfighters, connus pour leurs lives survoltés, étaient de passage à Paris pour la promo de leur dernier LP, Universe. L'occasion de faire le point avec Ozo et Poncho sur ce quatrième album qui aura mis presque cinq ans à voir le jour. Une longue gestation qui s'explique en partie par de très longues tournées et une volonté de produire un opus novateur, qui se démarque clairement de ce que le groupe a pu faire jusqu'ici. Epinglés de « meilleur groupe qui n'ait jamais existé » par Josh Homme dans le documentaire Fuzzomentary, les Truckfighters continuent d'expérimenter et de produire des morceaux qui puisent dans des genres musicaux très diversifiés.

Par Estelle
le 11/12/2013 - 18:38
[Entrevue] Year Of No Light : "On fait ça, on aime ça"

Epique. Massif. Hypnotique. Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire le concert de Year Of No Light à la Flèche d’Or. En toute logique les Bordelais ont mis à l’honneur Tocsin, leur nouvel album attendu pour fin novembre. Si les morceaux s’étirent en longueur, la tension, elle, ne se relâche jamais. La faute à ces montées en puissance sublimées par les deux batteries, à ces passages pachydermiques, à ces notes suraiguës et entêtantes. Dans le public, personne n’est resté insensible : certains se sont laissés aller à fermer les yeux, d’autres ondulaient au rythme de la musique… Il faudra attendre que la salle se rallume pour que les regards se fassent moins lointains et que chacun reprenne ses esprits. Mais avant d’assister à cette séance de transe collective, nous sommes allés poser quelques questions au groupe.

le 07/31/2013 - 18:31
Kylesa : "C’est un combat que de ne pas vouloir faire de la musique mainstream tout en continuant d’exister"

Mes attentes étaient très hautes concernant le passage de Kylesa à Montréal. Premièrement parce que je suis un admirateur, mais aussi parce qu'ayant réalisé un documentaire photographique sur le groupe en 2010, j’étais plus que curieux de les revoir. Ayant obtenu une entrevue auprès du booker pour Pelecanus, je m’adressai à Laura Pleasants à l'endroit même où j’avais conduit une entrevue pour ma démarche documentaire, il y a de cela près de 3 ans. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Pendant le temps séparant leurs passages montréalais, plusieurs événements ont eu lieu, tels le départ et l’arrivée de différents membres et un nouvel album. Un peu fébrile, j’arrive au Il Motore, le même endroit où j’ai vu le groupe pour la dernière fois.

le 07/31/2013 - 18:31
Kylesa : "C’est un combat que de ne pas vouloir faire de la musique mainstream tout en continuant d’exister"

Mes attentes étaient très hautes concernant le passage de Kylesa à Montréal. Premièrement parce que je suis un admirateur, mais aussi parce qu'ayant réalisé un documentaire photographique sur le groupe en 2010, j’étais plus que curieux de les revoir. Ayant obtenu une entrevue auprès du booker pour Pelecanus, je m’adressai à Laura Pleasants à l'endroit même où j’avais conduit une entrevue pour ma démarche documentaire, il y a de cela près de 3 ans. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Pendant le temps séparant leurs passages montréalais, plusieurs événements ont eu lieu, tels le départ et l’arrivée de différents membres et un nouvel album. Un peu fébrile, j’arrive au Il Motore, le même endroit où j’ai vu le groupe pour la dernière fois.

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