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2013

Par Fred Nvrd
le 02/27/2013 - 17:31
Rorcal - Világvége (2013)

Rorcal fait du doom, ok mais moi le doom je n'y connais rien, en plus ces mecs sont des potes alors faire leur chronique c'est un peu comme faire monter Berlusconi dans un bus de jeunes cheerleaders, c'est dangereux. Tout à coup, j'ai pris un gros coup de batte derrière la nuque, l'éthique d'écriture me serre à la gorge comme un anaconda boufferait un mouton, faire ou ne pas faire ? Finalement, ne connaissant rien au doom je me lance et étant plutôt arriviste patenté, je n'ai rien à perdre, si ce n'est les 666 bières qu'ils doivent m'offrir parce que je parle de leur album...

Par Fred Nvrd
le 02/21/2013 - 16:31
Cult of Luna - Vertikal (2013)

5 ans, c'est le temps qu'il aura fallu à Cult Of Luna pour sortir un nouvel album ! Bien qu'officionados convaincu de la première heure lors des sorties de leurs albums The Beyond (2003) ou de Salvation (2004), les deux longs formats suivants m'ont laissé plutôt indifférent, énième redite d'un style certes maîtrisé mais usé par une armée de seconds couteaux tous désireux de croquer la pomme du hipster postrock à tendance métallisée. Curieux de voir ce qu'ils avaient gravé sur leur nouveau long format, je me sors les doigts du colon et je tapote sur mon clavier pour voir si les internets ont la possibilité de m'offrir le sésame sonore... Sans problème, la toile a réponse à tout, voire plus encore, je lance donc ce sixième krisprolls dans mes enceintes.

Par Martin
le 02/20/2013 - 16:31
Wormlust – The Feral Wisdom (2013)

H.V. Lyngdal, jeune homme islandais, a sorti quelques démos ces derniers temps sous le nom de Wormlust. Du black-metal comme il s’en fait de nos jours, on est accoutumé aux variantes et aux nombreux clones qui parsèment l’univers monolithique des froideurs nordiques, du plus primitif au plus technologique. Cependant, Wormlust produit des réalisations justes et intelligibles. L’intérêt de « The Feral Wisdom » est qu’il se distingue par de nombreux aspects ordinairement absents d’autres productions du genre. Les « stop and go » de la première pièce, « Sex ogu, tolf stjömur », ainsi que les sons de claviers sont judicieusement placés. C’est très bienvenue, ça permet à cette pièce de 10 minutes de bien respirer avant d’achever son assaut. Même si le vocal est inaudible (et en islandais), bourré de réverbération pernicieuse, l’ensemble est totalement cohérent.

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